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En progressant, il découvre doigt à miette l’écrin de la clairière, un endroit presque gothique où les siècles émerge suspendu. Là, les arbres majestueux, avec lequel les cimes se fondent dans l’obscurité étoilée, se dressent en sentinelles silencieuses, gardiennes d’un héritage donne au cours des millénaires. Au foyer de cet positionnement, une constitution de pierre, aux formes élégantes et secretes, se dresse tel un autel de naissance. Sur ses surfaces, des gravures impénétrables évoquent les rites séculaires et célèbrent l’essence de maxi voyance. Esteban s’avance, et dans le silence respectueux de ce position, il ressent la présence compréhensif de celle qui, évident lui, ont foulé ce même sol en recherche de véridicité.